29 mars 2006
ces coeurs pleurant
Oh! Méfie toi petite coquine!
Naïve comme le premier matin
C'est une décision libertine
Mais si, je ne regrette rien
Et là, tu me parais comme floue
D'autres comme toi l'ont clamé
Je suis encore le méchant loup
C'est pas facile je dois avouer
Le chardon se joue de mes pieds
Et ces mêmes pieds se jouent de moi
Comme un coq, j'ai le torse bombé
Ces pauvres poules sont en émoi
C'est décidé, je fous le camp
Je reviendrai après l'hiver
Laissant à vif ces coeurs pleurant
Ma main est ferme, mes yeux sévères
Adrien
Publicité
Publicité
Commentaires